Sur les pas de la famille Martin

Les lieux du pèlerinage

Maison natale de sainte Thérèse

Maison de la famille Martin

Cette maison, située rue Saint-Blaise, a été le théâtre de la vie familiale des Martin de 1871 à 1877. C’est dans ce lieu que sainte Thérèse est née (1873), là aussi que sainte Zélie est décédée (1877).

A l’origine maison de la famille Guérin, Zélie a vécu ici jeune fille, de 1844 jusqu’à son mariage en 1858.

 

Cette maison est le cœur battant du sanctuaire. C’est là que vous pourrez découvrir en profondeur la vie et le message des saints Louis et Zélie et de leur famille.

Attenante à la chambre natale

Chapelle Sainte-Thérèse

Cette chapelle, inaugurée en 1928, offre une décoration et un mobilier porteur de sens, de symboles, qui sont autant d’invitations à l’intériorisation, la réflexion, la méditation et la prière. Les murs sont couverts d’ex-votos.

 

Dans le chœur de la chapelle, la partie basse de l’autel représente une Nativité où sainte Thérèse offre une rose à l’Enfant Jésus.

Au sommet, une sculpture montre l’Enfant Jésus remettant une rose dans la main gauche de sainte Thérèse qui, de la main droite, la répand sur la terre. L’Enfant Jésus se tient près de la Croix, signe du Salut. Le voile de la Sainte Face, nous rappelle la Passion du Christ et le nom de Thérèse : Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face.

 

A droite de l’autel, le reliquaire des saints Louis et Zélie et de leur fille sainte Thérèse est fixé sur une plaque de verre. Trois tubes en bronze et or les contiennent : une dentelle ciselée pour sainte Zélie rappelant son travail de dentellière, des engrenages et des aiguilles d’horloge pour Louis et au centre une rose recouvre celui accueillant les reliques de sainte Thérèse.

 

Sur le mur latéral droit s’ouvre la chambre natale. La porte revêt le symbole du passage dans un autre espace. En retrait des vitres, l’encadrement de la porte laisse passer le regard rendant l’espace intérieur de la chambre accessible. Sur le bronze, le texte met face au mystère de la vie et de la mort : « Ici, vie et mort se sont côtoyées. La famille Martin a appris à s’aimer et à s’abandonner à la providence ».

Les trois marches, avec les mots Dieu premier servi – Amour et confiance – Justice et charité invitent à s’élever vers le ciel. Ces mots sont la traduction d’orientation de vie des saints Louis et Zélie Martin.

Lieux du mariage des saints Louis et Zélie et du baptême de sainte Thérèse

Basilique Notre-Dame

Elle est le cœur de la vie spirituelle et sacramentelle de la famille Martin : saints Louis et Zélie s’y sont mariés le 13 juillet 1858 à 00h00, et sainte Thérèse y a été baptisée le 4 janvier 1873. C’est l’église paroissiale de la famille où ils ont reçu beaucoup de grâces.

 

Suite à la béatification des saints époux, cette église a été élevée au rang de Basilique mineure en décembre 2009 par le pape Benoît XVI.

 

L’édifice, dont la construction a commencé en 1470, possède un magnifique porche représentant la scène de la Transfiguration, et renferme un autel majeur du XVIIIe siècle ainsi qu’une Vierge de l’Assomption datée de 1798.

Pont de Sarthe

Pont de la rencontre

Un lieu source du saint couple. C’est là, alors qu’elle croise Louis par hasard, que Zélie entend une voix intérieure lui dire : « C’est celui-là que j’ai préparé pour toi. » Trois mois plus tard, Louis et Zélie se marient.

Lieu de méditation et de loisirs de Louis Martin

Le Pavillon

Lorsque Louis acquiert, en 1857, cette petite tour en bord de Sarthe, c’est pour disposer d’un lieu de méditation où il puisse s’adonner à son loisir favori : la pêche. Après son mariage avec Zélie, les époux viendront, avec leurs enfants, y couler des heures tranquilles.

 

Acheté par Louis Martin, en avril 1857, le Pavillon fut pour lui un lieu où il aimait aller. A l’angle d’un jardin, cette petite tour hexagonale comporte un rez-de-chaussée et deux étages auxquels donne accès un escalier en pierre extérieur, pour le premier puis intérieur pour le second.

 

Louis installe, tout d’abord au Pavillon, la statue de la Vierge que lui a offerte Mlle Félicité Baudouin, une pieuse alençonnaise très impliquée dans les œuvres sociales. Copie de celle de Bouchardon, à Saint-Sulpice de Paris, (original en argent, fondue pendant la Révolution, cette Vierge représente l’Immaculée, les mains ouvertes comme pour épandre ses grâces).

 

Comme plus tard du belvédère des Buissonnets, à Lisieux, Louis fait du Pavillon le lieu de ses lectures. Des notes tenues au cours de sa vie permettent de découvrir ses goûts. Fils de son temps, il aime, parmi bien d’autres, à se nourrir de Lamartine ou de Châteaubriant (dont il achète les œuvres complètes dès le 21 octobre 1846 « au prix de 25 f. les 10 volumes ».)

Ancien local professionnel de Louis et ancienne maison familiale Martin

L'horlogerie

Cette bâtisse a servi à la fois de local professionnel pour l’horlogerie de Louis (« Au Remontoir ») et l’atelier de dentelle de Zélie, et de logement familial pour les Martin entre 1858 et 1871. Louis y a accueilli ses parents et son neveu Adolphe Leriche, orphelin.

 

En 1871, la famille Martin s’installe rue Saint-Blaise, et Louis cède son horlogerie à Adolphe pour se consacrer au soutien de l’activité dentellière de son épouse.

Première église paroissiale de la famille Martin

Eglise Saint-Pierre de Montsort

C’est dans cette église alençonnaise qu’ont été baptisés les huit premiers enfants de Louis et de Zélie. Avant leur déménagement dans le quartier Notre-Dame, cette église a été l’église paroissiale des Martin, de 1858 à 1871. Si l’église a été reconstruite par la suite, l’édifice actuel conserve les fonds baptismaux sur lesquels ont été portés Marie, Pauline, et leurs frères et sœurs, hormis Thérèse.

Lieux

Maison de Rose Taillé, nourrice de sainte Thérèse

En raison des difficultés d’allaitement que rencontrait sainte Zélie, Thérèse, bébé, a été confiée à la nourrice Rose Taillé de mars 1873 à avril 1874. Malgré la blessure de la séparation précoce d’avec sa mère, ce séjour fût salvifique : Thérèse eût la vie sauve grâce au lait de sa nourrice et reprit des forces à la campagne jusqu’à guérison complète.

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